condensateurs usuels radios

*bonjour*

Pourquoi avec insistance vouloir refaire rigoureusement comme à l’origine des câblages qui n’ont rien « d’architectural » , c’est souvent un enchevêtrement minable … ? :gene:
Avec les nouveaux condensateurs axiaux , ils sont plus petits et on y voit plus clair dans les liaisons .
J’ai trouvé il y a qq jours des 25nf SIRE sorties sous verre enveloppe métal légèrement oxydés l, vraisemblablement à huile, une dizaine pour 5€, comme les Cogéco moutarde où les SIC rouge ils sont indestructibles *fleur
Si je déroge , les câblages ne sont pas à la vue des utilisateurs, il suffit de refaire proprement ceux ci :smiley:

Pierrot 82 : exact : mais tu admettras que la question posée concernait les condensateurs électrolytiques de filtrage ," ceux que l’on change systématiquement" sur les anciens châssis .

Pour les autres , merci : j’ai un stock , ne pense pas être complétement stupide ,et ai commencé depuis longtemps à restaurer .

Mais merci pour tes encouragements .

Bonne journée .
Ce.

Je pense que si l’on met dans sa caisse de dépannage les condensateurs suivants l’on peut faire face à toutes les situations :

“Chimiques” :
47 microfarads / 400 volts minimum.
22 microfarads / 400 volts minimum.
10 microfarads /400 volts minimum.

“Plastiques” :
47 nanofarads / 400 volts minimum.
22 nanofarads / 400 volts minimum.
10 nanofarads / 400 volts minimum.

“Céramiques” :
100 et 150 picofarads / 400 volts minimum.

Je dirai au moins cinq de chaque pour ne pas se trouver bloqué au milieu d’un dépannage et pour pouvoir composer des valeurs supérieures ou inférieures.

Nicolas à raison : les condensateurs papiers sont tous “fuyants”. La faute au papier qui vieillit mal.
Inutile de perdre son temps à mesurer leur courant de fuite sous quelques centaines de volts : à la poubelle ou en figuration en enveloppe d’un condensateur neuf.
A la limite en “découplage” de cathode le temps de monter mieux, en solution provisoire. Mais à virer de toute urgence entre deux étages d’amplification sous peine de tuer le tube suivant.

La prochaine génération verra comment vieillissent nos condensateurs “plastiques”…

Le problème de la composition d’une caisse de dépannage ( dans un domaine donné ) en imposant une taille et un poids maximal à cette caisse et un problème “amusant” mais complexe.
Les anciens se base sur l’expérience. Peut-être est-ce un problème qui admet une solution parfaite par un algorithme ?

*bonjour*

Et bien merci pour toutes vos réponses .
Le schmilblick a bien avancé …
Et bonne journée .
Cdt.
Ce.

PS : je laisse un lien concernant les circuits oscillants , un autre de mes soucis ,qui me semble bien expliqués et pour ceux que ça intéresse :
fr.wikipedia.org/wiki/Circuit_LC

Finalement intuitivement j’en étais arrivé à l’analogie entre circuit oscillant et l’échappement dans un mouvement horloger .

En gros deux systèmes classiques : les plus anciens : les systèmes à ancres /balancier . (source d’énergie ressort ou poids).
Et plus récents et les plus répandus : les systèmes à spiral ( adossé à un ressort dans son barillet) .
Comme le spiral effectue une oscillation visible à l’oeil nu l’analogie est encore la plus évidente .

( Enfin les modernes : oscillateurs à quartz et atomiques ) .
Le tout pour arriver à une fréquence régulière qui entraine les rouages heures minutes secondes .
Ou alimente un cadran numérique .

larousse.fr/encyclopedie/div … erie/58714
*hola*

Coyote
Ce n’est pas le papier qui vieillit mal dans ce type de condensateurs ces sont les procédés d’isolement qui ne rendent plus hermétique leurs structures.
Presque tous les modèles qui ont suivi ceux au brai n’ont été défectueux , s’ils ont été utilisé dans leurs limites de fonctionnement.
Quelques SIRE bleu isolés à 2000V utilisés en impulsion n’ont pas résisté

Sur ce, je m’en vais remonter le ressort de mon fréquencemètre numérique qui me sert aussi d’avatar… :laughing:

Ne pas omettre que le papier est fait à partir de bois, matière qui comme toutes les autres plantes vertes ou pas mûres contient des sels minéraux, lesquels migrent et rendent toute humidité conductrice (L’eau pure ne conduit pas).
Si on ajoute en prime les bases utilisées dans le processus de fabrication du papier, ça done à celui-ci tout ce qu’il faut pour conduire l’électricité à la première petite trace d’humidité.

Joli fréquencemètre. :wink:
Ici ce sont les moustaches du chat qui servent de détecteur. :mdr3:

Bonjour.

Effectivement, Nicolas, si l’on veut être pointilleux, il faut faire la distinction entre ce qui dégrade le papier en venant de l’extérieur et l’auto-dégradation du papier.
Dans les vieux livres les bords des pages sont plus jaunis et dégradés que le centre.
Cependant même en l’absence d’agents extérieurs ( chimiques ou organiques ) le papier vieillit : c’est une propriété intrinsèque.
C’est un casse tête pour les restaurateurs, et aussi un déchirement, car ils savent que tous les livres, même conservés sous cloche, disparaitront tôt ou tard.

*bsr* à tous,

S’il n’y a que le papier qui vieillit :ghee:

Je crois que c’est aussi la paraffine, utilisé à l’époque comme diélectrique dans ces condensateurs , qui avec le temps , attaque, le papier ,et le rend perméable, au courant électrique.

jean louis

*bsr*

Le papier, non, les papiers ne sont pas tous faits en partant de la cellulose du bois .
Comment ce "fesse til " que certains chimiques n’ont pas vieilli, des allemands Siemens par exemple, SK, qui ne bougent pas et qq Philips Hollande. *fleur .